LE VÉLO LITTÉRAIRE
Activité 1.- Choisissez une fable, un conte, une histoire courte et faites un parallèlisme. Pensez à "Le lièvre et la tortue"
Par exemple : adaptation de la fable de Jean de La Fontaine “La cigalle et la fourmi”
La voiture et le vélo
La VOITURE, ayant ROULÉ
Tout l’été,
Se trouva fort dépourvue
Quand la CRISE fut venue :
Pas unE seulE GOUTE
De GASOIL ou d´ESSENCE.
Elle alla crier BESOIN
Chez LE VÉLO SON VOISIN,
LE priant de lui prêter
Quelque BIDON pour subsister
Jusqu’à la saison nouvelle.
"Je vous paierai, lui dit-elle,
Avant l’août, PAROLE DE BAGNOLE,
Intérêt et principal. "
LE VÉLO n’est pas prêteuR:
C’est là son moindre défaut.
"Que faisiez-vous au temps chaud ?"
Dit-elle à cette emprunteuse.
- Nuit et jour à tout venant
Je POLLUAIS, ne vous déplaise.
- Vous POLLUIEZ ? j’en suis fort aise.
Eh bien! PÉDALEZ maintenant.
Version espagnole:
EL SR.COCHE Y LA SRA.BICICLETA
El Sr. Coche, habiendo rodado
todo el verano
se encontró muy desprovisto
cuando llegó la crisis:
ni una sola gota
de gasoil ni gasolina.
Fue a pedirle a su vecina
la Sra. Bicicleta
que le prestara
algo para subsistir
hasta la próxima estación.
“Se lo pagaré antes de Agosto le dijo,
Se lo prometo por San Carro,
con intereses”
La Sra. Bicicleta,
poco prestamista,
es aquí su mayor defecto
le preguntó a este prestatario:
“¿Qué hacía usted en días de calor?”
“Día y noche, sin parar
contaminaba, muy a su pesar”
“¿Contaminaba?
Me parece estupendo
Pues pedalee ahora
Activité 2.- POÈTES À BICYCLETTE
Mon vélo est blanc
Ton vélo est rouge
Je dors tout le temps
Tout le temps tu bouges
En roulant roulant
De Guadahortuna au pont El Hacho
Sur ton vélo blanc
Sur mon vélo rouge
En arrivant le soir
Rouge et blanc
Seront tout noirs
(Adaptation du poème d´Anne Sylvestre)
PROMENADE À VÉLO
Me promener à vélo,
Le matin tôt.
Respirer l’air frais
Dès l’aube, me rend gaie.
Moments de liberté,
Parmi les fleurs rosées.
Roulant à toute allure,
Le vent en pleine figure.
J’ai ce sentiment infini
D’être en paix avec la vie
Et surtout avec moi-même,
Oubliant toutes mes peines.
Grâce au chant des oiseaux,
A l’odeur des coquelicots.
Enfin le temps de regarder,
Enfin le temps de respirer,
Enfin le temps de rire,
Enfin le temps de vivre.
(Florence Levardon)
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